En gros, ces petits cons prétentieux, mandatés par leur institution et bien protégés par la RATP, n'ont pas arrêté de critiquer le fait que les anti-pub ne font que substituer une agression à une autre agression.... Plus ça va, plus je hais les artistes... surtout ces petits cons subventionnés et protégées par les institutions et la police, qui se permettent de jouer à peu de frais et sans prendre de risque la carte "critique" (ils critiquent tout de même la pub) sans jamais avoir à en payer le tribu qu'on du payer les anti-pub dont l'engagement les a tout de même conduits à être arrêtés par la police, traduits devant les tribunaux, et sanctionnés.
Ca me fait penser au débat sur les free-parteux qui exposent à Beaubourg sans jamais évoquer les problèmes de la techno : ayant accès aux institutions, les artistes "critiques" n'ont généralement rien de plus urgent que de lécher les bottes de leurs nouveaux maîtres. Et après on dit que c'est les médias qui sont des "chiens de garde" du pouvoir ? Foutaise : les médias ET les artistes sont les valets de tous les pouvoirs.
http://cultureetloisirs.france3.fr/arte ... 010-fr.php
Pharaon descend à Pyramides
La station de métro "Pyramides" à Paris se "pharaonise" jusqu'au 28 novembre
Le 15 novembre, une cinquantaine de professeurs et élèves de l'Ecole nationale supérieure des arts décoratifs y ont inscrit les premiers hiéroglyphes.
C'est le premier acte de la "convocation" des pharaons dans la "vallée des Rois métropolitaine" (le métro, en français), sous l'égide de la RATP.
L'acte II se joue dans la nuit du 21 au 22 novembre : le nom des Pharaons (Psousennes, Sethi, Amenophis III ...) apparaîtra en hiéroglyphes d'or, formant une fresque gigantesque.
Acte III (nuit du 24 au 25 novembre): le portrait de chacun des seize pharaons apparaîtra sur fond d'or.
L'exposition "Pharaon" qui se déroule jusqu'au 10 avril 2005 à l'Institut du Monde Arabe, connaît un vif succès: 4.000 personnes s'y pressent chaque jour et plus de 75.000 visiteurs ont pu admirer les 200 pièces qui y sont présentées.