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Je hais Noël
Modérateur : drÖne
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drÖne
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Je hais Noël
drÖne
d'où, chose remarquable, rien ne s'ensuit...
d'où, chose remarquable, rien ne s'ensuit...
Dröne, voici une info qui donnera à tous grands et petits d'utiles idées de décorations à Noël.
La lecture de ces infos atténuera j'en suis sûr ton désenchantement à l'égard de cette belle fête qui suscite tant de joyeuse émulation.
Guerre des décorations de Noël à La Havane entre Cuba et les Etats-Unis
LA HAVANE (AFP) - Un cercle scintillant faisant allusion aux dissidents emprisonnés contre une série de pancartes montrant les photos de tortures à la prison irakienne d'Abou Ghraib: à La Havane, sur le Malecon, l'avenue du front de mer, les autorités cubaines et la mission diplomatique américaine se livrent une guerre des décorations de Noël.
Juste en face de la section d'intérêts des Etats-Unis, les autorités cubaines ont installé vendredi une série de pancartes grand format, montrant des photos des tortures commises par des soldats américains dans la prison irakienne d'Abou Ghraib, avec le slogan "Fascistes made in USA".
Face à l'entrée latérale de l'immeuble, où se trouve l'entrée réservée au public, une autre pancarte a été placée: un Marine américain vise avec son fusil la tête d'un enfant irakien sous la légende: "Merry Christmas".
Les autorités cubaines ont également mis des drapeaux rouges à croix gammée.
Vendredi, aucune information officielle n'a été donnée à ce propos.
Du côté américain, un diplomate de la section d'intérêts, parlant sous le couvert de l'anonymat, a qualifié les pancartes de "fanatiques et exagérées".
Cette installation est une réponse à une décoration de Noël un peu particulière installée, entre les classiques guirlandes, sapins de Noël et autres traîneaux, à l'intérieur de la mission diplomatique américaine: un cercle scintillant entourant le chiffre 75, correspondant au nombre d'opposants au régime arrêtés en mars 2003.
"Il ne peut y avoir de meilleur contraste. D'un côté: les Etats-Unis souhaitant aux Cubains de joyeuses fêtes (...) et un effort pour lancer un débat autour des droits de l'homme. De l'autre: un ensemble de pancartes gouvernementales agressives pour les yeux", a déclaré le diplomate américain.
Lundi dernier, le ministère des Affaires étrangères cubain avait convoqué le chef de la mission américaine, James Cason, pour lui ordonner de retirer immédiatement la décoration, le menaçant même de mesures de rétorsion.
Pour M. Cason, qui refuse de l'enlever et assure qu'elle restera jusqu'à la fin des festivités, évoquer les dissidents arrêtés n'est pas une provocation mais un devoir moral des Etats-Unis envers les prisonniers politiques de l'île.
La lecture de ces infos atténuera j'en suis sûr ton désenchantement à l'égard de cette belle fête qui suscite tant de joyeuse émulation.
Guerre des décorations de Noël à La Havane entre Cuba et les Etats-Unis
LA HAVANE (AFP) - Un cercle scintillant faisant allusion aux dissidents emprisonnés contre une série de pancartes montrant les photos de tortures à la prison irakienne d'Abou Ghraib: à La Havane, sur le Malecon, l'avenue du front de mer, les autorités cubaines et la mission diplomatique américaine se livrent une guerre des décorations de Noël.
Juste en face de la section d'intérêts des Etats-Unis, les autorités cubaines ont installé vendredi une série de pancartes grand format, montrant des photos des tortures commises par des soldats américains dans la prison irakienne d'Abou Ghraib, avec le slogan "Fascistes made in USA".
Face à l'entrée latérale de l'immeuble, où se trouve l'entrée réservée au public, une autre pancarte a été placée: un Marine américain vise avec son fusil la tête d'un enfant irakien sous la légende: "Merry Christmas".
Les autorités cubaines ont également mis des drapeaux rouges à croix gammée.
Vendredi, aucune information officielle n'a été donnée à ce propos.
Du côté américain, un diplomate de la section d'intérêts, parlant sous le couvert de l'anonymat, a qualifié les pancartes de "fanatiques et exagérées".
Cette installation est une réponse à une décoration de Noël un peu particulière installée, entre les classiques guirlandes, sapins de Noël et autres traîneaux, à l'intérieur de la mission diplomatique américaine: un cercle scintillant entourant le chiffre 75, correspondant au nombre d'opposants au régime arrêtés en mars 2003.
"Il ne peut y avoir de meilleur contraste. D'un côté: les Etats-Unis souhaitant aux Cubains de joyeuses fêtes (...) et un effort pour lancer un débat autour des droits de l'homme. De l'autre: un ensemble de pancartes gouvernementales agressives pour les yeux", a déclaré le diplomate américain.
Lundi dernier, le ministère des Affaires étrangères cubain avait convoqué le chef de la mission américaine, James Cason, pour lui ordonner de retirer immédiatement la décoration, le menaçant même de mesures de rétorsion.
Pour M. Cason, qui refuse de l'enlever et assure qu'elle restera jusqu'à la fin des festivités, évoquer les dissidents arrêtés n'est pas une provocation mais un devoir moral des Etats-Unis envers les prisonniers politiques de l'île.
Le Lion Bleuflorophage
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drÖne
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Géniale cette info ! On se croirait dans les chroniques drönésiennes relatant la lutte propagandiste sur le front barbudo-drönésien ! La réalité ne cesse de rattraper sa caricature : c'est dûr pour les caricaturistes que nous sommes de rivaliser d'imagination avec le réel !LLB a écrit :Dröne, voici une info qui donnera à tous grands et petits d'utiles idées de décorations à Noël.
La lecture de ces infos atténuera j'en suis sûr ton désenchantement à l'égard de cette belle fête qui suscite tant de joyeuse émulation.
Guerre des décorations de Noël à La Havane entre Cuba et les Etats-Unis
LA HAVANE (AFP) - Un cercle scintillant faisant allusion aux dissidents emprisonnés contre une série de pancartes montrant les photos de tortures à la prison irakienne d'Abou Ghraib: à La Havane, sur le Malecon, l'avenue du front de mer, les autorités cubaines et la mission diplomatique américaine se livrent une guerre des décorations de Noël.
Juste en face de la section d'intérêts des Etats-Unis, les autorités cubaines ont installé vendredi une série de pancartes grand format, montrant des photos des tortures commises par des soldats américains dans la prison irakienne d'Abou Ghraib, avec le slogan "Fascistes made in USA".
Face à l'entrée latérale de l'immeuble, où se trouve l'entrée réservée au public, une autre pancarte a été placée: un Marine américain vise avec son fusil la tête d'un enfant irakien sous la légende: "Merry Christmas".
Les autorités cubaines ont également mis des drapeaux rouges à croix gammée.
Vendredi, aucune information officielle n'a été donnée à ce propos.
Du côté américain, un diplomate de la section d'intérêts, parlant sous le couvert de l'anonymat, a qualifié les pancartes de "fanatiques et exagérées".
Cette installation est une réponse à une décoration de Noël un peu particulière installée, entre les classiques guirlandes, sapins de Noël et autres traîneaux, à l'intérieur de la mission diplomatique américaine: un cercle scintillant entourant le chiffre 75, correspondant au nombre d'opposants au régime arrêtés en mars 2003.
"Il ne peut y avoir de meilleur contraste. D'un côté: les Etats-Unis souhaitant aux Cubains de joyeuses fêtes (...) et un effort pour lancer un débat autour des droits de l'homme. De l'autre: un ensemble de pancartes gouvernementales agressives pour les yeux", a déclaré le diplomate américain.
Lundi dernier, le ministère des Affaires étrangères cubain avait convoqué le chef de la mission américaine, James Cason, pour lui ordonner de retirer immédiatement la décoration, le menaçant même de mesures de rétorsion.
Pour M. Cason, qui refuse de l'enlever et assure qu'elle restera jusqu'à la fin des festivités, évoquer les dissidents arrêtés n'est pas une provocation mais un devoir moral des Etats-Unis envers les prisonniers politiques de l'île.
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drÖne
d'où, chose remarquable, rien ne s'ensuit...
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C'est bien ça qui est navrant, tu as déjà exprimé cette idée selon laquelle les caricatures n'arrivent plus à caricaturer rien du tout tant la réalité devient grimaçante et outrancière.
On pourrait opposer à tout le discours à propos du retard des mentalités et ses clichés fameux ( dans le fil de la pitié railleuse à l'égard des illustrations de 1900 qui montraient des diligences volantes en 2000, ou bien dans le registre des moqueries à propos de ces imbéciles de gens ordinaires qui avaient peur que les avions ne détraquent le climat, ou encore actuellement dans la rhétorique actuelles de la dénonciation des résistances au changement) une enquête sur les discours de stigmatisation des imaginations délirantes bien digne de la crédulité de ces mêmes gens ordinaire (allons, c'est de la pure science fiction, voyons).
On serait sans doute surpris de voir ce qui avait été dénoncé comme étant des délires de craintifs hostiles au progrès.
On pourrait opposer à tout le discours à propos du retard des mentalités et ses clichés fameux ( dans le fil de la pitié railleuse à l'égard des illustrations de 1900 qui montraient des diligences volantes en 2000, ou bien dans le registre des moqueries à propos de ces imbéciles de gens ordinaires qui avaient peur que les avions ne détraquent le climat, ou encore actuellement dans la rhétorique actuelles de la dénonciation des résistances au changement) une enquête sur les discours de stigmatisation des imaginations délirantes bien digne de la crédulité de ces mêmes gens ordinaire (allons, c'est de la pure science fiction, voyons).
On serait sans doute surpris de voir ce qui avait été dénoncé comme étant des délires de craintifs hostiles au progrès.
Le Lion Bleuflorophage
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drÖne
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En effet, ce serait une belle archéologie des discours qui serait à faire là. Une sorte d'archéologie préventive... Autour des thématiques du type "technologie", "science", ou "réformes politiques", il y aurait de quoi ne plus sourire du tout, je le crains... Bush, par exemple, applique à merveille le programme Orwellien : ça en est devenu tellement caricatural que plus personne ne le note ni ne le dénonce vraiment, de nombreux intellectuels français ayant bien trop peur d'être pris pour des caricaturistes. Et pourtant...LLB a écrit :C'est bien ça qui est navrant, tu as déjà exprimé cette idée selon laquelle les caricatures n'arrivent plus à caricaturer rien du tout tant la réalité devient grimaçante et outrancière.
On pourrait opposer à tout le discours à propos du retard des mentalités et ses clichés fameux ( dans le fil de la pitié railleuse à l'égard des illustrations de 1900 qui montraient des diligences volantes en 2000, ou bien dans le registre des moqueries à propos de ces imbéciles de gens ordinaires qui avaient peur que les avions ne détraquent le climat, ou encore actuellement dans la rhétorique actuelles de la dénonciation des résistances au changement) une enquête sur les discours de stigmatisation des imaginations délirantes bien digne de la crédulité de ces mêmes gens ordinaire (allons, c'est de la pure science fiction, voyons).
On serait sans doute surpris de voir ce qui avait été dénoncé comme étant des délires de craintifs hostiles au progrès.
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drÖne
d'où, chose remarquable, rien ne s'ensuit...
d'où, chose remarquable, rien ne s'ensuit...
en effet ! (ptdr = pété de rire en langage de forum)